Les hasardeuses fondamentales.
Anne Robelin (née vers 1675) se marie le 14 novembre 1702 avec Esme Bailly à Montagny-lès-Beaune. Ils ont neuf enfants, tous décèdent en bas âge sauf Françoise Bailly qui épouse Denis Bouzereau en 1734 et donne future vie à tous les Bouzereau actuels.

Marguerite Perdrier (née en 1789) se marie le 14 novembre 1813 avec Jean Baptiste Bouzereau à Montagny-lès-Beaune. Ils ont quatre enfants, tous décèdent très rapidement sauf le deuxième, Jean Baptiste, notre arrière-arrière grand-père. Marguerite décède en donnant naissance à son dernier fils, mort-né.

Marie Roullier (1747 – décédée vers 1820) se marie en secondes noces vers 1787 avec Mathurin Davy à Saint-Laurent-de-la-Plaine. Après avoir eu sept enfants avec son premier mari, son premier enfant avec Mathurin décède rapidement, et elle donne naissance à Jacques Davy à quarante-quatre ans.
Jacques marque la transition entre les Davy et les David. Il nait Davy en 1791 et décède David en 1828 sous les doigts de « Louis Pierre Duverdier de la Sorinière, Chevalier de l'ordre royal et militaire de St Louis, maire et officier public de l'état civil de la commune de Chemillé, arrondissement de Beaupreau, département de Maine et Loire ». C'en est fini des Davy. Page de gauche deuxième paragraphe

Les mythiques
Jeanne Anne Chappé (1826 – 1899) se marie vers 1848 avec Dominique Bigarel, tailleur de son état, et ils décident d’émigrer à San Francisco vers 1850. Puisque Dominique est tailleur (''Das tapfere Schneiderlein'', ils ont ensemble sept enfants en Californie, puis reviennent à Paris vingt ans après. Les filles Bigarel donnent ensuite future vie aux Gossot, Poincet et Luquin.

Louise Elvire Pécheux (1851 – 1941) se marie le 17 juillet 1869 avec Louis Auguste Morellon à La Ferté-Milon, et ils ont dix enfants, bases des descendances actuelles Morellon, David, Benjamin, Bouzereau, Chiboust, David, Savetier, ...).
Elvire est pour nous mythique, notre mère nous en a tellement parlé que nous avons vraiment l’impression de l’avoir connue.

Celles que nous aurions voulu connaître
Simone n’a pas pu connaître sa grand-mère maternelle, Cécile Pied, qui décède à vingt-huit ans alors que sa fille Suzanne – la mère de Simone - a un an. Emile Bouzereau, son mari, le grand-père de Simone, est en même temps le mien.

Simone Domergue est ma grand-mère paternelle, elle décède à Perros-Guirec en 1929, alors que son fils Jean-Pierre a neuf ans.